1) Respect & comportement

Chaque agent doit agir avec dignité et droiture.
Même envers des criminels arrêtés ou condamnés, il est interdit de se livrer à des humiliations ou à des moqueries inutiles.
La mission principale reste la protection de la population, pas l’abaissement des adversaires.
Le respect doit s’appliquer à tous, y compris aux individus exécutés ou tués en RP.

2) Gestion des cellules & incarcérations

Aucun joueur ne doit être placé en cellule sans raison valable : référez-vous toujours au code pénal.
Rappelez-vous qu’un joueur doit aussi s’amuser derrière son personnage : proposez des interactions et évitez les temps morts.
Si vous incarcérez quelqu’un, vous devez rester impliqué dans la scène et non disparaître pendant des heures.

Après 2 semaines en service dans les forces de l’ordre avec un même personnage, il devient impossible de basculer illégal avec lui.
Pour passer de l’autre côté de la loi, un wipe complet est obligatoire (afin d’éviter les fuites d’informations) et il faudra attendre 1 semaine.
Seule exception : la corruption, mais elle doit être validée par un dossier staff.
Chaque agent doit suivre et valider le processus officiel de recrutement.
Il est interdit de recruter sans procédure ou sur simple base d’amitié HRP.

Les membres du gouvernement et juges sont incorruptibles et ne peuvent pas rejoindre ou favoriser l’illégal.
Les forces de l’ordre ne peuvent pas appartenir à une organisation criminelle ni basculer illégalement.
Corruption : possible uniquement sur dossier validé par le staff, se référer à l’article 5.
Les avocats peuvent rejoindre un groupe illégal, mais toujours via un dossier approuvé.

La corruption, c’est l’usage abusif de sa fonction pour obtenir un avantage personnel : argent, objets, informations, protection …

Elle est considérée comme un outil RP et doit rester cohérente, sans déséquilibrer le serveur.
Exemples (liste non exhaustive) :
- Accepter un pot-de-vin pour fermer les yeux.
- Utiliser des ressources publiques pour soi-même.
- Manipuler un jugement.
- Blanchir de l’argent.
- Intimider ou abuser de son statut.
- Avantager un proche injustement.
Un personnage corrompu doit assumer les conséquences RP de ses actes.
Le dossier staff protège uniquement contre une sanction HRP, pas contre les retombées en jeu.
Un seul représentant des forces de l’ordre sera susceptible d’être corrompu par bureau.

Elles regroupent les intimidations, menaces ou violences physiques/psychologiques utilisées pour obtenir des informations.
Tolérées si elles s’inscrivent dans une arrestation proportionnée.
Illégales si elles impliquent torture ou traitements dégradants.
Leur but : protéger l’ordre public, pas obtenir un avantage personnel (contrairement à la corruption).
Elles doivent rester limitées, les magistrats pouvant fermer les yeux selon le contexte.

Les forces de l’ordre peuvent ouvrir le feu en premier uniquement si :

Légitime défense : menace directe contre leur vie.
Protection d’autrui : citoyen en danger immédiat.
Neutralisation d’un individu dangereux : si l’arrestation pacifique est impossible.

Dans tous les cas : sommations obligatoires, privilégier la scène RP.

Lors d’un braquage, prise d’otages ou négociation :

Limite : 12 agents max par scène.
Pour participer, il faut valider l’appel via télégramme, sinon la présence ne compte pas.

En cas de défaite (gunfight perdu), il est interdit de rappeler immédiatement du renfort → éviter l’effet zombie wave.
Les Marshals n’interviennent que pour les enquêtes fédérales ou, en dernier recours, en l’absence totale de shérif.

Les forces de l’ordre répondent uniquement aux alertes de leur comté si le shérif est disponible.
Les alertes indiquent un lieu, jamais l’identité du suspect → une enquête est nécessaire pour relier les faits.

Interdiction d’arrêter un joueur en plein échange de tirs.
Les arrestations se font uniquement après la fin du gunfight.
Maximum : 1 prisonnier ramené par scène.
Le fair-play prime : ne cherchez pas systématiquement à éradiquer tous les groupes illégaux.

Chaque bureau (sheriff, police, rangers, marshals) dispose d’un télégraphe gouvernemental. Les civils n’y ont pas accès.
Consultation et réponse uniquement depuis une station ou un bureau.